Ce matin, nous quittons Saigon pour le Nord avec maintenant comme guides Gérard et son épouse Linh, immédiatement proches de nous, et en particulier, des enfants.
Après le petit déjeuner où nous discutons avec un Viêt Kiêu Australien, ne parlant pas vietnamien (c'est bizarre..) nous prenons place dans notre minibus.
départ à 8h30 pour emprunter la route N°1, la route Mandarine qui relie Ho Chi Minh à Hanoi, environ 1700 km. Nous n'en ferons aujourd'hui qu'environ 200km, mais ici ça en vaut 1000

La route mandarine fut construite par l'empereur Gia Long (1er souverain de la dynastie des Nguyên), puis baptisée par les Français. Elle était autrefois empruntée par les mandarins et les hauts fonctionnaires pour voyager rapidement entre leurs provinces et la capitale.
Elle relie les plus grandes villes du pays et assure ainsi le lien indispensable entre Hanoi, Vinh, Hué, Danang, Nha Trang et Saigon.

Parfois étroite, la route mandarine est souvent encombrée à l'entrée des villes. La circulation y est intense, on y rencontre tous les moyens de transport imaginables avec des chargements incroyables, qui tiennent en équilibre on ne sait comment, et de nombreux camions et autobus surchargés. Ici ce n'est pas celui qui tient sa droite mais le plus imposant qui a raison.
Nous traversons des paysages très différents : des rues suranimées de Saigon, aux banlieues industrielles, à l'hyperbanlieue en chantier(s), puis des bourgs très catho, à la statuaire clinquante : une église tous les 200m, de construction récente, décorée de drapeaux, fanions....
Arrêt dans une des nombreuses églises pour un temps de prière collective et d'admiration des constructions.

Nous croisons de nombreuses fêtes de mariage attablées sous des tonnelles décorées de ballons, de tissus roses et rouges.
Puis nous découvrons des vergers entiers de fruits du dragon.
Le restau viet est dur à trouver (pour convenir à Linh). Nous finissons par nous attabler dans un restaurant rustique de bord de route, sorte de grand hangar, où Linh s'occupe de tout, nous cocoonne.
Les regards sont une fois de plus tournés vers les "joues rouges" de nos 4 enfants. Clémence a même le droit à une attention particulière et se fait coiffer !

Après le petit déjeuner où nous discutons avec un Viêt Kiêu Australien, ne parlant pas vietnamien (c'est bizarre..) nous prenons place dans notre minibus.
départ à 8h30 pour emprunter la route N°1, la route Mandarine qui relie Ho Chi Minh à Hanoi, environ 1700 km. Nous n'en ferons aujourd'hui qu'environ 200km, mais ici ça en vaut 1000

La route mandarine fut construite par l'empereur Gia Long (1er souverain de la dynastie des Nguyên), puis baptisée par les Français. Elle était autrefois empruntée par les mandarins et les hauts fonctionnaires pour voyager rapidement entre leurs provinces et la capitale.
Elle relie les plus grandes villes du pays et assure ainsi le lien indispensable entre Hanoi, Vinh, Hué, Danang, Nha Trang et Saigon.

Parfois étroite, la route mandarine est souvent encombrée à l'entrée des villes. La circulation y est intense, on y rencontre tous les moyens de transport imaginables avec des chargements incroyables, qui tiennent en équilibre on ne sait comment, et de nombreux camions et autobus surchargés. Ici ce n'est pas celui qui tient sa droite mais le plus imposant qui a raison.
Nous traversons des paysages très différents : des rues suranimées de Saigon, aux banlieues industrielles, à l'hyperbanlieue en chantier(s), puis des bourgs très catho, à la statuaire clinquante : une église tous les 200m, de construction récente, décorée de drapeaux, fanions....
Arrêt dans une des nombreuses églises pour un temps de prière collective et d'admiration des constructions.


Nous croisons de nombreuses fêtes de mariage attablées sous des tonnelles décorées de ballons, de tissus roses et rouges.
Puis nous découvrons des vergers entiers de fruits du dragon.
Le restau viet est dur à trouver (pour convenir à Linh). Nous finissons par nous attabler dans un restaurant rustique de bord de route, sorte de grand hangar, où Linh s'occupe de tout, nous cocoonne.

Les regards sont une fois de plus tournés vers les "joues rouges" de nos 4 enfants. Clémence a même le droit à une attention particulière et se fait coiffer !

Bonjour
RépondreSupprimerNous partons cet été pour un mois avec nos trois enfants de 11 à 13 ans avec Gérard.
Quels sont vos conseils ? Au niveau moustique, comment vous êtes-vous protégés ? Y en avait-il beaucoup beaucoup ?
Merci
David
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